Annonce de soutenance de thèse
Johanna Despax
Thèse pour l’obtention du titre de Docteure en Psychologie :
La parentalité des adultes adoptés : entre vulnérabilité et résilience : étude des déterminants du vécu de la parentalité et du rôle du conjoint
Sous la direction du Pr. Evelyne Bouteyre
Membres du jury : Pr. Aubeline Vinay (Université d’Angers), Pr. Daniel Derivois (Université de Bourgogne), Susana Tereno (PAST-HDR, Université
Paris Descartes), Pr. Patricia Germain (Université du Québec à Trois-Rivières), Nathalie Chapon (MCF, Aix-Marseille Université)
Samedi 11 septembre 2021
Résumé de la thèse
La majorité des travaux réalisés sur des personnes adoptées est centrée sur une population d’enfants. Pourtant, l’adoption est un processus qui touche les personnes concernées tout au long de leur vie. A l’âge adulte, l’accès à la parentalité constitue un défi majeur pour tout parent ou futur parent. L’expérience personnelle atypique des personnes adoptées en tant qu’enfants, mais aussi certaines de leurs caractéristiques psychologiques et relationnelles, suggèrent que leur propre parentalité pourrait être porteuse d’enjeux spécifiques. Le premier objectif de ce travail doctoral est de rendre compte du vécu de la parentalité des personnes adoptées et de ses déterminants. Le second est de mettre en lumière le vécu conjugal et coparental des conjoints de personnes adoptées, et de s’intéresser à leur profil psychologique. Deux axes de recherche comprenant chacun deux études constituent ce travail.
Le premier axe comprend une étude quantitative et une étude qualitative. La partie quantitative est basée sur un échantillon de 268 personnes adoptées appariées à 268 personnes non-adoptées ayant toutes rempli une série de questionnaires validés scientifiquement. La partie qualitative est basée sur 13 entretiens semi-directifs de personnes adoptées. Une analyse thématique a été réalisée. Le second axe comprend, lui aussi, une étude quantitative et une étude qualitative. L’étude quantitative s’appuie sur un échantillon de 104 conjoints de personnes adoptées et 104 conjoints issus de la population générale ayant tous rempli une série de questionnaires validés scientifiquement.
L’étude qualitative du second axe est, quant à elle, basée sur l’analyse thématique de dix entretiens semi-directifs de conjoints de personnes adoptées. Les résultats du premier axe de recherche révèlent que les personnes adoptées ne diffèrent pas de la population générale en ce qui concerne le stress parental, les motivations à avoir des enfants, et la coparentalité malgré leur vulnérabilité psychologique et relationnelle. Néanmoins, le fait d’avoir été adopté peut fortement contribuer à un positionnement spécifique vis-à-vis de la parentalité (refus ou investissement massif de la parentalité). Par ailleurs, la relation conjugale joue un rôle particulièrement important dans la prédiction du vécu parental des personnes adoptées. Les résultats du second axe montrent que les conjoints de personnes adoptées ne diffèrent pas de la population générale pour l’attachement, la résilience, la santé mentale, le coping dyadique et la coparentalité, bien que des similitudes de parcours de vie avec leur partenaire adopté soient observées. En outre, les conjoints présentent des vécus de leurs relations conjugales très hétérogènes mais une majorité d’entre eux considère que le statut d’adopté de leur partenaire a des conséquences sur sa façon d’être parent. Ce travail doctoral a permis d’éclairer et de discuter du vécu de la parentalité des personnes adoptées et de leur conjoint. Il propose une réflexion sur l’accompagnement de ces derniers et sur les axes préventifs liés à cette problématique.
Participation des membres du laboratoire à des colloques, congrès,
symposium, journées d'étude
Mardi 26 octobre - Mercredi 27 octobre 2021
Martes 26 de octubre - Miércoles 27 de octublre de 2021
à Grenade/En Granada
Observatorio de Prospectiva Cultural HUM-584, Universidad de Granada
Delphine Scotto
Les voies de l’inspiration et de la création
chez l’artiste peintre et « icône » mexicaine Frida Kahlo
Chez Frida Kahlo [1907-1954], une double tragédie est à l’origine de sa première toile Autoportrait à la robe de velours qu’elle offre à son amoureux qui l’a éconduite : considérée comme « une sorte de prière visuelle, d’offrande amoureuse », cette toile signe son entrée en peinture sur fond de déchirure identitaire et subjective mais pas seulement : d’élan mystique aussi. Son art est « un ruban autour d’une bombe » selon André Breton : dans une métaphore éclatante, la bombe exhausse cette notion assez énigmatique du « souffle créateur » et de l’inaltérable Alegria qui aimanta son œuvre comme sa personnalité, et en firent l’une des plus grandes peintres du début du vingtième siècle.
Annonce de soutenance de thèse
Mélanie Fakheur
Thèse pour l'obtention du titre de Docteure en Psychologie :
Espaces de la banlieue. Lieu du sujet. Approches psychanalytique et topologique des banlieues françaises
Sous la direction du Pr. Jean-Jacques Rassial
Membres du Jury : Isée Bernateau, Professeur des Universités (Paris Diderot), Rajaa Stitou, Maître de conférence HDR (Université Paul Valéry, Montpellier 3) ,
Sidi Askofaré, Professeur des Universités (Toulouse le Mirail), Jean-Jacques Rassial, Professeur émérite, (Aix-Marseille-Université)
Samedi 16 octobre 2021
Résumé de la thèse :
Cet écrit propose de discuter la perspective déterministe envisagée par une psychopathologie spécifique aux habitants de banlieues en France, déduite d'observations de psychologues cliniciens et psychanalystes. Pour cela, les banlieues sont abordées dans leurs qualités spatiales qui nous renseignent sur les processus de construction d'un chez soi et la structuration des espaces (psychiques et urbains).
Notre étude s'appuie sur les topiques freudiennes, la topologie lacanienne et la formalisation des structures mythiques lévi-straussiennes pour argumenter la manière dont une conception de l'espace accompagne toujours une définition du sujet. C'est seulement à l'issue de cette étude que nous pouvons proposer les outils nécessaires pour mettre en discussion déterminismes géographiques des banlieues et sujet de l'inconscient comme mise en tension d'une éthique en psychanalyse.
Annonce de soutenance de thèse
Nicolas Robert
A le plaisir de vous convier à la soutenance de sa thèse pour l'obtention du titre de Docteur en Psychologie :
SEMBLANT ET SIMULACRE
Enjeux épistémologiques, théoriques et cliniques de deux notions clefs dans les pensées de Jacques Lacan et de Gilles Deleuze
Sous la direction de :
Jean-Jacques Rassial. Professeur des université AMU
Stéphane Lojkine. Professeur des université AMU
Membres du Jury : Pascale Macary-Garipuy Professeure des universités. Université Paul Valéry Montpellier 3 - Pierre PIRET Professeur des universités. Université de Louvain - Apostolos LAMPROPOULOS Professeur des universités. Université Bordeaux Montaigne - Stéphane THIBIERGE Professeur des universités. Université Paris Diderot
20 novembre 2021 à 13h30 - A l’Université d’Aix-Marseille 29, Avenue Robert Schuman, Salle de colloque 1 - 13090 Aix-en-Provence
Résumé de la thèse :
En 1968 Gilles Deleuze nous avertit du règne du simulacre et de la ruine de l'identité. Pourtant, l'identité et ses prétendants semblent aujourd'hui triompher. Deleuze se serait-il trompé ? Le simulacre n'aurait-il pas su contester l'identité en imposant la victoire de la différence pour elle-même dans le monde des semblants et des signes quotidiens ? Et si, finalement, pour entendre quelque chose à la prédiction deleuzienne, il nous fallait écouter avec attention le pervers, ce maître des surfaces et simulacres ?
Participation des membres du laboratoire à des colloques, congrès,
symposiums, journées d’étude
Colloque international - 4, 5, 6 novembre 2021 Besançon et visioconférence
https://envelopsychique.sciencesconf.org/
Clarisse VOLLON - Guy GIMENEZ
Communication orale :
« Dissociation, enveloppe psychique et créativité groupale dans un contexte de pandémie mondiale »
La crise sanitaire causée par l’épidémie de COVID-19 durant l’année 2020 a eu des répercussions sociales et économiques inédites. Des mesures de préventions importantes ont été prises par le gouvernement français pour freiner la propagation du virus, la plus emblématique étant sans doute celle du confinement de l’ensemble de la population française le 16 mars 2020. Durant deux mois, ce confinement a forcé chacun et chacune d’entre nous à modifier son quotidien, réorganisant nos environnements intime, privé et public. Nous proposons dans notre communication de nous interroger sur les répercussions de ces mesures sur l’organisation de nos liens interpsychiques (Kaës, 2015). En effet, nous avons été témoin durant cette période de nombreuses initiatives créatives pour maintenir le lien social sous diverses formes grâce notamment aux réseaux sociaux et l’utilisation massive de certaines plateformes de communication comme Zoom. Ainsi, nous poserons deux questions. Pourquoi les mesures de confinements et plus largement la crise du COVID-19 ont-elles permis l’émergence d’initiatives créatives dans les groupes ? Quel a été le rôle de l’enveloppe psychique groupale dans ces processus de création ? Pour répondre à ces questions nous analyserons des observations et des entretiens effectués avec les membres d’une compagnie de danse contemporaine au court de la création d’une pièce chorégraphique qui s’est déroulée de mars à mai 2020.
Mots-clefs : Enveloppe psychique, créativité, dissociation fonctionnelle, groupe, pandémie.
Annonce de soutenance de thèse
Laura Cyr
A le plaisir de vous convier à la soutenance de sa thèse pour l’obtention du titre de Docteure en Psychologie :
Processus de régulation dans les addictions : facteurs émotionnels de vulnérabilité face au craving
Sous la direction de Vincent Bréjard
Membres du jury : Pr. Isabelle Varescon (Université Paris-Descartes), Pr. Didier Acier (Université de Nantes), Joël Billieux (MCF-HDR, Université de
Lausanne), Dr. Christophe Cutarella (Ramsay Santé).
Vendredi 3 juin 2022 à 9h - A l’Université d’Aix-Marseille 29, Avenue Robert Schuman, Bâtiment Eger, salle B203 - 13090 Aix-en-Provence
Résumé de la thèse
Les troubles liés à l’usage de substances constituent actuellement un enjeu majeur de santé publique, tant en termes de conséquences somatiques que psychosociales. La littérature portant sur l’addiction présente le craving ou l’« irrépressible envie » de consommer, comme un élément central dans la prise en charge de la problématique addictive. Malgré des données croissantes sur le rôle causal qu’entretient le craving avec la reprise d’une consommation problématique, le constat de rechutes conséquentes dans le domaine de l’addiction nécessite des données supplémentaires qui permettent la compréhension des processus de régulation dans les addictions et des mécanismes psychologiques sous-jacents. Cet écueil dans la prise en charge demande une analyse plus approfondie des relations entre l’expérience de l’envie et le fonctionnement cognitivo-émotionnel convoqué pour rendre compte de facteurs de vulnérabilité au développement, au maintien et à la récurrence des conduites d’addictions. Dans une démarche exploratoire et à visée préventive, il apparait nécessaire d’évaluer l’influence de facteurs de personnalités et émotionnels sur le craving afin de permettre le développement de nouvelles stratégies d’interventions psychologiques visant à anticiper la rechute et intervenir sur les conséquences cognitives et émotionnelles du craving dans l’abstinence.
Une étude comparative et longitudinale a été menée entre un groupe clinique composé de 116 patients âgés de 19 à 60 ans et dépendants à la cocaïne et un groupe témoin appariés en âge. Des autos et hétéros questionnaires administrés sur une période de 6 mois ont permis d’évaluer les liens entre l’impulsivité, l’alexithymie et la symptomatologie anxiodépressive, ainsi que l’influence de variables médiatrices. Des entretiens semi-directifs auprès de 10 patients ont été menés et une analyse thématique codée en double aveugle a été réalisée. Les sujets dépendants présentent une autorégulation altérée comparativement à celles des adultes issus du groupe témoin. L’impulsivité est associée à la variabilité des cravings à la cocaïne dans le temps et ce, indépendamment de l’influence de l’alexithymie. L’amélioration des troubles anxieux exerce une influence sur le craving, à l’inverse des niveaux de conscience émotionnelle. Les résultats de cette recherche ouvrent la perspective d’intégrer dans les prises en charge des marqueurs individuels prédictifs de la rechute addictive, et ainsi d’individualiser les interventions thérapeutiques de prévention. De nombreux sujet de recherche sont à explorer pour valider ces résultats.
Annonce de soutenance de thèse
Léa MONTEROSSO
A le plaisir de vous convier à la soutenance de sa thèse pour l’obtention du titre de Docteure en Psychologie :
Remaniements identitaires et de l’image du corps à travers les réseaux sociaux :
Les musées imaginaires de l’adolescent contemporain
Sous la direction de Guy GIMENEZ et la co-direction de Christian BONNET
Membres du jury : :: Isée BERNATEAU, Professeure des Universités (Paris Cité) ; Florian HOUSSIER, Professeur des Universités (Paris 13) ; Olivier
DOUVILLE, Maître de conférence (Université Ouest Nanterre) ; Guy GIMENEZ, Professeur des Universités (Aix-Marseille-Université) ; Christian
BONNET, Maitre de conférence et HDR (Aix-Marseille-Université).
Vendredi 1er Décembre à 14h - A l’Université d’Aix-Marseille 29, Avenue Robert Schuman, Salle de colloque 2 - 13090 Aix-en-Provence
Résumé de la thèse
Cette thèse mêle Psychanalyse et Art, dans une tentative de compréhension de la vie psychique de l’adolescent à travers son smartphone. Elle a pour horizon d’être une aide à penser l’adolescent contemporain, notamment dans la rencontre avec le psychologue, à travers ses objets culturels, ses codes, ses images, ses
langages, sa rhétorique contemporaine. Cette recherche a pour objectif d’ouvrir à la possibilité d’utiliser ces objets culturels en tant que supports d’une expérience transférentielle dans la rencontre. Nous métaphorisons les constructions imagées virtuelles en tant que musée imaginaire (A. Malraux, 1965). Cette recension est poétiquement adaptée à notre objet culturel et permet de mettre en lumière les métamorphoses identitaires et de l’image du corps adolescente à travers les réseaux sociaux. Nous mettons ainsi en évidence les opérateurs en liens entre les Héros des réseaux sociaux, leurs musées imaginaires, et les romans
photos adolescents dans la rencontre clinique. Dans cette perspective structurale, le discours ne se réduit pas à la forme orale et sonore. Le musée imaginaire est la sépulture des évènements du cœur et du corps.
Annonce de soutenance d’HDR
Marie Lenormand
A le plaisir de vous convier à la soutenance de son HDR :
« Du jeu au cas : enjeux praxéologiques, épistémologiques et érotologiques de la psychanalyse »
Garant : Pr. Sylvain Missonnier
Membres du jury : David Bernard (MCF-HDR, Université Rennes II), Pierre-Henri Castel (DR, CNRS Institut Marcel Mauss, EHESS, Lier), Nicolas Guérin (Pr, AMU), Philippe Huneman (DR, CNRS Paris I Panthéon Sorbonne, IHPST), Pascale Macary (Pr émérite, Université Montpellier Paul Valery), Sylvain Missonnier (garant, Pr, Université Paris Cité) & Jean-Jacques Rassial (Pr émérite, AMU).
Mardi 16 janvier 2024 à 13h
Aix-Marseille School of Economics - AMU, 5, bvd Maurice Bourdet, 13001 Marseille
- Salle de conférences 3e étage –
Afin de pouvoir entrer dans les locaux de l’université, tout membre n’ayant pas de carte AMU doit annoncer sa venue avant le 12 janvier 2024 en envoyant un mail à l’adresse suivante : marie.lenormand@univ-amu.fr.
Résumé de l'HDR
Ce manuscrit d’HDR, composé de sept parties, présente les résultats d’une recherche passée et inédite dont le cœur porte sur les enjeux épistémologiques et praxéologiques de la cure psychanalytique, essentiellement dans le champ de la psychanalyse avec les enfants – les questionnements « locaux » et « cliniques » ayant débouché sur des questions plus fondamentales sur le statut de la psychanalyse et notamment du cas en psychanalyse.
L’auteure est tout d’abord partie de considérations théorico-cliniques relatives à l’accueil du jeu dans la clinique psychanalytique avec les enfants telles que développées lors de son travail de doctorat. A rebours d’une promotion tous azimuts du phénomène ludique, elle invite à la prudence, à la définition et à une « dé-fétichisation » du recours au jeu dans la psychanalyse avec les enfants, tel que promu par Klein et Winnicott qui constituent aujourd’hui des références incontournables de la psychanalyse des enfants. Ce premier temps de recherche l’a conduite ensuite à des interrogations plus larges.
Premièrement, en restant dans le champ de la psychanalyse des enfants, elle s’est tout d’abord penchée sur les questions plus générales relatives au « dispositif » de la psychanalyse avec les enfants en tant que variante de la « cure type », c’est-à-dire de la cure par la parole (talking cure) telle qu’inventée par Freud pour les adultes. Il a été question de mettre en tension entre elles les différentes traditions analytiques de la psychanalyse de l’enfant ainsi que leurs différentes options afin de penser la possibilité de frayer, malgré la multiplicité des paradigmes, une orientation clinique.
Deuxièmement, ces questionnements relativement à des enjeux praxéologiques et théorico-cliniques, mais également critiques des grands textes de la psychanalyse de l’enfant l’ont conduite, dans le deuxième grand pan de ses recherches, à des interrogations qui portent sur la consistance du savoir psychanalytique ainsi que sur la méthode de la recherche en psychanalyse. Ceci l’a notamment conduite à traiter de la question du statut du « cas » en psychanalyse, forme centrale pour l’invention de son savoir ainsi que pour sa méthode clinique, mais grevé de défauts épistémologiques problématisés et popularisés par les philosophes issus de la Vienne qui a vu naître la psychanalyse, à savoir Karl Popper et Ludwig Wittgenstein. En complément d’une approche générale et théorique relative aux questions que pose le cas en psychanalyse, l’auteure a également choisi de se pencher sur la façon dont quatre grands psychanalystes d’enfants, au cas par cas, ont traité de ce point dans leurs écrits. Lebovici & McDougall, Klein, Dolto et Winnicott ont tous, en effet, écrit une « monographie » de cure de psychanalyse d’enfant pour rendre compte de leur pratique. L’auteure s’est emparée de ces écrits pour tenter d’y repérer la façon dont chacun d’entre s’y prenait avec ces difficultés et, en acte, mettait en œuvre sa position relative à ces enjeux fondamentaux – faisant l’hypothèse que si ces analystes ne traitent pas spéculativement de la question épistémologique de la garantie de leur savoir, leurs écrits rendent compte en acte de la façon dont ils résolvent (ou tentent de résoudre) cette difficulté.